• [Kentin] Blottit dans tes bras prologue.

    [Kentin]  Blottit dans tes bras

    Prologue

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    Je ne pouvais rien voir de là ou  j'étais. J'ai ouvert les yeux, je ne sentais ni mon cœur, ni les membres de mon corps qui n'avaient même pas la force de tremblé. Je ne savais qu'une chose : j'allais mourir.  À force de souffrir de la sorte, torturer par des inconnus. Et je ne savais pas pourquoi ... Mais j'étais en plein milieu de la rue, j'étais tellement choqué que je me rappelais simplement du genre de torture d'ont j’avais été victime : mes bras étaient couverts de traces, faisant couler du sang partout. On m'avait tapé à violents coups, on m’avait fais vomir, les hommes ont appuyé très fort sur mon ventre pour ça. Et pour finir, on m'avait injecté un liquide, en me plantant une seringue dans mes veines ouvertes et je ne savais pas ce que s'était, les conséquences de cette piqure et je n'avais même pas la force de me débattre. Mon maquillage couler et l’encre noire se mélanger à mes larmes et lorsque celle-ci tombais sur mon faible corps, mon sang se mélangeaient aux larmes. Je ne pouvais rien voir, j'étais comme en train de perdre connaissance. Le liquide faisait très vite effet : je souffrais partout, ne sentant plus mes muscles. Mon corps se refroidissait. J'hésitais, allais-je mourir empoisonnée, d'hypothermie, d'hémorragie, d'arrêt cardiaque ? Je sais que dans quelques minutes, je ne souffrirai plus ... 

    Alors que je fermais les yeux pour me préparer à ma mort qui venait lentement, je sentis quelqu’un m’attraper le bras. Sa main était chaude, brulante, comparé à mon corps glacée. Rien que ce contact me réchauffais. J’ouvrai les yeux avec effort, mais ne vis qu’une silhouette, assise à coter de moi, et me disant des mots incompréhensible. Je pleurais une dernière fois, sentant que j’allais définitivement quitter ce monde … Mais la silhouette, qui était un homme grand et musclé, me portai, comme une princesse. Je ne voyais rien, je n’entendais rien, mais je sentais son odeur. Je sentais aussi son corps brulant. Je sentais que j’allais à peine mieux. Je fermai les yeux, et voyais tout noir. Avais-je quitté ce monde ? Qui été cet homme ? Voulais t’il me sauver, pourquoi ?

    Mais lorsque j’ouvris les yeux, je me retrouver dans une chambre d’hôpital. Mon cœur battait correctement, mon corps avais repris une température normale. Mon bras droit était recouvert d’une bande blanche. Seulement, le bras qui n’avais aucune égratignures (appart quelques bleus et un peu de sang...) était accrocher à un fil, qui reliais un liquide, et j’en conclus que c’était une simple perfusion, ou je ne sais quoi. J’avais affreusement mal aux muscles, mais j’allais mille fois mieux que ce soir là, où j’avais été victime de tous ces malheurs …

     

    Une chose est sur, quelqu’un m’avais sauvé la vie, et je voulais le remercier.


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