• [Kentin] Blottit dans tes bras chapitre 9

    Chapitre 9 : L’amour sans obstacles.

     

    (Ce chapitre est plutôt banal, enfin je veux dire par là qu’il n’y aura pas de rebondissements, d’actions ou quoi que se soit. Enfin, appart un truc mais … Surprise ! Oui, l’histoire prend fin et ce chapitre est l’avant dernier, mais je tenais à dire que la Fan Fic prend fin à l’épisode 8, enfin l’histoire du départ. Sauf que les deux derniers chapitres en font quand même partit et sont important. Et surtout le dixième, il sera très spécial mais se sera une belle fin ! Bon trêve de bavardage, je vous laisse découvrir tout sa par vous-même. Bonne lecture !)

    *Kentin*

    Ils m’ont donné le nom de la chambre et m’ont vaguement expliqué comment m’y rendre. Normalement, les visites se finissent à vingt heure mais je leur est expliqué la situation, et je n’avais pas attendus quatre heures pour rien. Bref, j’ai parcouru les couloirs, ai monté au second étage et ai trouvé la bonne chambre. Dès que je suis rentré, Alexia m’a regardé et m’a souris chaleureusement. Mais la voir dans cet état me faisais de la peine : elle était allongé sur son lit, la couverture blanche recouvert son corps, et il y’avais une perfusion à son bras. Ainsi que des antis douleurs et d’autres choses. Ses cheveux étaient un peu ébouriffés. Avant même que je ne puisse lui parler, la porte s’est ouverte et j’ai tourné la tête. C’est une infirmière un peu pressé qui a fais quelques changements au fil qui reliais son bras au produits. Puis elle se retourna vers moi et me dit :

    -Elle a subis une opération, souffrante d’une Appendicite. Elle est donc un peu faible. Je vous ai installé un deuxième lit, je suis pose que vous dormez ici ?

    -Oui, merci.

    L’infirmière sortit de la chambre. Je m’approche d’Alexia et lui pris la main.

    -Haha, une Appendicite, une vraie cette fois ?

    Elle rigola légèrement avant de répondre :

    -Oui, une vraie cette fois. Finalement tout est rentré dans l’ordre.

    -Oui mon ange. Tu n’a plus rien à craindre.

    Il y’eu un long silence avant qu’elle ne reprenne :

    -Tu sais, je suis désolé pour tout. Parce que je ne savais plus ce que je disais tout à l’heure… C’est à cause de moi que tu vis tout sa…

    J’écarquillai les yeux et repris.

    -N’échange pas les rôles, c’est moi qui est à l’origine de tout. Pas toi. Tu n’a rien fait, alors arrête. Tu as fais une overdose de révélations, c’est ma faute. D’accord ?

    -Kentin … Merci. Et aussi … Merci de ne pas avoir tué à nouveau.

    -De rien … En parlant de sa, la police n’a jamais été au courant lorsque j’ai tué le type qui s’en est pris à ma famille. Je voulais qu’on en reparle mais …

    -On avait d’autres choses à régler, non ? Me dit- elle.

    -Oui… Mais je voulais vraiment te dire une chose. Tu es la seule à ne pas avoir eu peur et …

    -Tu m’as protégé tellement de fois. Tu as été protecteur avec ta mère comme tu l’as été avec moi. Je t’aime. Si tu veux oublier tout sa et ne pas passer ta vie en prison, ne pense plus à sa.

    Je l’embrasser et une larme coulais sur ma joue.

    -Merde… Dis-je.

    Elle rigola et pleurer, elle aussi. C’était une scène tellement émouvante que ce silence était agréable. Nous étions en train de pleurer comme deux gamins. Nous étions tellement heureux que tout sa sois finis. Après ce combat.

    La porte s’ouvrit d’un coup. Je me retourner. C’était Lola, qui fit un gros sourire et qui s’avançais vers Alexia pour lui faire un gros câlin. Puis elle me regarda.

    -Désolé d’arriver si tard, mais les flics m’ont pas lâché. M’enfin, tu va bien ?

    -Oui … Juste un peu mal au ventre avec l’opération mais ça va.

    -Ha oui, je viens de croiser une infirmière qui m’a dit. Mais on est là. Pas vrai Kentin ?

    Je lui souriais. Lola lui pris sa deuxième main.

    -J’ai ma grande sœur et mon copain à mes coter … Comment être plus heureuse.

    Ce fut au tour de Lola de verser une larme.

    -Tout à l’heure pleurer m’a fais du bien … Je pensais que pleurer n’était pas une bonne idée mais au bout d’un moment sa fais du bien d’évacuer cette tristesse… Et me dire qu’ils ne sont plus en liberté, ca me soulage tellement.

    -Sauf Leslina. Dis-je.

    -Elle est partit en Italie, on s’en fou !

    -Ha bon ? S’étonna Alexia.

    -Oui ! Sa mère vit là bas, elle échappe à la prison mais elle nous fout la paix. Répondit Lola.

    -Ha ...

    -Et au fait, je suis passé chez moi te prendre quelques vetements, j’ai posé le sac en dessous du lit.

    -Merci !

    Il y’eu à nouveau un long silence. Jusqu’à ce qu’une infirmière prévienne Lola qu’il fallait qu’elle parte. Elle fit un bisou sur la joue à Alexia et me fis la bise, puis attrapa son sac à main et partit, avec regret. J’étais donc seul avec Alexia. Je voyais qu’elle commençait à se fatiguer alors je vérifier qu’elle soit bien installée. Je remettais son cousin plus bas dans son lit, remettais la couverture sur ses épaules et déposez un baisez sur ses lèvres et éteignis la lumière. Même si je n’étais pas confortablement installer dans mon fauteuil, je trouvais le sommeil, certes plus lentement qu’Alexia mais quand même. Je m’endormais tranquillement, sans trop d’encombres.

    *Alexia*

    Je me réveillai lorsque l’infirmière m’apporta mon petit déjeuner. J’ouvrais difficilement les yeux, aveuglée par la lumière. Juste à coter de moi se trouvais Kentin, qui me souriais. Moi ce matin je n’allais pas vraiment bien, j’avais extrêmement mal au ventre, j’avais la tête qui tourner, et je ne sentais toujours plus mes jambes (Anesthésie générale …)

    -Vous avez bien dormis ? Me demanda l’infirmière.

    -Euh … O-Oui …

    -Ne vous inquiétez pas, le matin après une opération nous laisse dans ce genre d’état, je vais vous mettre sous anti-douleur.

    Elle me refit une perfusion qu’elle reliait à un autre produit. Je la remerciais et avant de partir elle me dit :

    -Essayez de manger au moins un petit peu mademoiselle.

    J’hochais la tête et fut aider par Kentin à me relever un peu, histoire d’avoir le dos sur les cousins. Kentin mettais le plateau sur mon corps. Mais cette nourriture me dégoutais. Je n’avais pas faim.

    -Comment tu te sens ? Demanda Kentin.

    -Euh … Ben … Un peu malade mais ça va.

    Il me fit signe de manger ce que je fis. Mais après avoir croqué dans la biscotte, je n’en voulais déjà plus. Je retirais le plateau de sur moi et croisai les bras.

    -T’es d’une humeur toi … Tu veux quelque chose ? Me demanda Kentin.

    -Un câlin.

    Il me fit un grand sourire et me pris dans ses bras. Je restais comme sa plusieurs secondes. C’était la seule chose d’ont j’avais besoin.

    -Il faut que tu te repose un peu, d’accord ?

    Je lui souris avant de lui répondre :

    -Tu peux m’aider à me relever ? Je voudrais prendre ma douche.

    Il enleva la couverture qui recouvrais mon corps et me portais jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol. Il enlever la perfusion de mon bras. Sauf que je ne sentais toujours plus mes jambes.

    Kentin m’aida donc à marcher jusqu’à la douche. Puis j’essayer de me débrouiller comme je pouvais en m’asseyant dans la douche. Je faisais un Shampooing à mes cheveux et savonner mon corps. Puis j’enrouler une serviette à mon corps et une à mes cheveux avant de rejoindre Kentin.

    Je pris une robe du sac de vêtements à Lola et m’habillais dans un coin de la chambre. Puis je brossais mes cheveux avant de retourner dans mon lit.

    -Je vais faire quelques courses et raconter ce qu’il s’est passé à mes parents, je reviens vite.

    -D’accord, je t’aime.

    -Moi aussi.

    Kentin partit alors je fouillai dans le sac de vêtements. Lola m’avais laissé un livre, que je lisais avant de m’endormir.

    *Lola*

    *Flash Back*

    Maeva courais partout, un tube de bulle à la main. Parfois, elle soufflait et une multitude de bulles volaient. Elle s’amusait dans le jardin, à cueillir des fleurs. Elle aimait tout, et son attention se centrer sur tout et n’importe quoi. Qu’elle  aime ou qu’elle n’aime pas quelque chose, elle était passionnée.

    Le vent souffler, alors elle rentrer à la maison, moi derrière elle. Elle disait avoir faim, alors je lui préparer un gouter. Elle manger en me remerciant. Et elle me disait :

    -Dis grande sœur, si un jour je meurs, comme papa et maman, est ce que tu me rejoindras ?

    Je la regardai, et lui répondais d’un ton neutre pour cacher mon inquiétude :

    -Bien sur … Mais avant, je me vengerai de la raison de ta mort.

    Elle me souriait. Et partait s’amuser à nouveau, une fois le soleil revenu.

    9 ans plus tard :

    Elle avait à présent quinze ans. Elle sortait pour voir ses amis. Nous venions de nous disputez. Elle avait claqué la porte. Mais je me soucier de son état : elle venait de saccager la maison. La raison de notre dispute n’était pas à prendre à la légère. Après lui avoir donné l’ordre de faire ses devoirs, elle m’avait crié : « tu n’es pas ma mère ». Je sentis un pincement au cœur. Depuis son plus jeune âge, depuis ses deux ans et demi, je veillais sur elle. J’étais prête à donner ma vie pour elle. Comment pouvais t’elle dire … sa ?

    J’attendais qu’elle s’éloigne et la suivais. Seulement, j’étais sortit trop tard, je ne la voyais plus. Je fouillais les rues pour la retrouver. Plus les minutes passaient, plus je m’inquiétais. Et au bout de trente minutes, j’entendis un bruit. Un cri. Ce cri, c’était celui de ma sœur. Un cri aigu, accompagné à des « Lâchez-moi ! » « Je vous en supplie » ou encore « Tout mais pas sa ! »

    Je courrais vers l’endroit où les cris se faisaient entendre de plus en plus fort dès que je m’avançais.

    Et j’entrai dans une salle étrange. Elle était assez spéciale. Mais le scénario me rappeler celui d’un film d’horreur. J’étais terrifié en voyant ma sœur, allongée, presque nue, le corps en sang. De partout. Son ventre était presque ouvert, et ses yeux s’ouvraient grandement. Mais elle n’eu ni la force de tourner la tête vers moi, ni la force de crier encore. Elle s’étouffa avant de me laisser déduire qu’elle était morte. Je voulais pleurer. Mourir.

    Je m’approchai de l’homme qui l’avait tué, même s’il n’était pas seul. Je le fixais, et sortait un couteau. Je traçais une ligne sur sa cuisse, le tissu de son pantalon disparaissait. Du sang écarlate coulait.

    -Connard. Dis-je avant de baissais les yeux et de m’en aller. Il me regardait, bouche bée. Il n’osait plus bouger. Et lorsque je partais, j’étais terriblement perdue. J’empêcher ces perles d’eau couler le longs de mes joues. Je me disais : « Je vais te venger, ensuite je te rejoindrai, petite sœur. »

    Ainsi je rentrai, malheureuse comme jamais.

    *Fin du flash Back*

    -Haaaaaa !

    Je me levai brutalement de mon lit et respirai bruyamment et fortement. Je reprenais mes esprits quelques minutes plus tard. Je tournai la tête. Et là, je n’y croyais pas.

    -Grande sœur …

    Sa voix douce… Ces deux mots prononcer dans un sourire innocent. Ses longs cheveux cendres qui tombaient le long de ses épaules. Ses yeux rouges aussi, et ses longs cils noir. Ses lèvres rosées. C’était elle.

    Je sortais de mon lit, tremblante. Je n’y croyais pas. Je lui disais, sanglotant, d’une voix tremblantes :

    -Je … Je suis désolé.. Je vais quitter ce monde, je te le promets je …. Je suis désolé, de tout… Ne pas t’avoir dis je t’aime avant que tu ne parte et que.. Risquer ta vie et ces hommes qui t’ont … Je… Me suis… Pas assez … Vengée… Je suis… DESOLE !!

    Je pleurer encore plus fort. L’expression de Maeva rester la même. Je m’avançais vers elle, mais en voulant la prendre dans mes bras, je me rendais compte qu’elle n’existait pas. Non. Sa voix n’était qu’entendue par moi, car s’était une voix qui résonné dans ma tête. Son corps, lui, n’était pas devant moi. J’avais halluciner. Je ne sentais pas son corps. J’avais rêvé. Alors je me mis à terre, et donner des coups au sol. J’avais mal à la main.

    Si je voulais voir son visage pour de vrai, si je voulais l’enlacer pour de vrai, entendre sa voix pour de vrai … Je devais mourir. Et tenir ma promesse que je lui avais faite lorsqu’elle avait six ans. La rejoindre dans l’au-delà.

    Je m’apprêtai déjà à partir. Je ne m’habiller pas, et courais sur le toit de mon appartement. De l’immeuble.

    Je regardai une dernière fois le paysage, et montais sur le rebord. J’avais le vertige. Je regardais tout, toute la ville de Sweet City. Je prenais de l’air frais dans mes poumons et fermer les yeux pour tomber lentement. Seulement, je revoyais à ce moment là toute ma vie. De A à Z. Des moments d’ont je ne me rappelais même plus. Et d’autres d’ont je me rappelais parfaitement. Depuis le jour de ma naissance à maintenant. Je ne pouvais pas arrêter ce film que visionner ma mémoire. Alors que je penchée mon corps vers le vide, alors que mon pied était déjà dans le vide, je regardais le ciel. « J’arrive, petite sœur, mes chers parents aussi …. » Et je regardais une dernière fois en bas : « Je t’aime, Alexia. Pardonne-moi. Et vie heureuse. »

    Et je tombais. Et c’était la fin. La fin de tout pour moi… La fin de ma vie.

    *Kentin*

    Je marchai dans les rues et passais devant le lycée. Je décidai d’y entrer pour expliquer la raison de nos absences, à Alexia et moi. J’allais rester le temps qu’il faudra à Alexia d’être hospitalisée. Je traversais les couloirs et entrai dans le bureau de la directrice. Elle avait le nez dans ses papiers, mais levais la tête vers moi et me regardai de travers. Avant qu’elle ne puisse répliquer quoi que se soit, je la coupai.

    -Alexia à eu un accident, disons qu’elle à eu plusieurs problèmes de santé. Elle a subis une opération hier et va rester à l’hôpital quelques jours. Et moi je m’occupe d’elle.

    Soudain, elle détendue les muscles de son visage et eu du mal à parler. Elle se sentait un peu idiote, mais finis par dire, le regard ailleurs :

    -Je vois. He bien, je m’occuperai de désignez quelqu’un pour lui passez le cours. Merci de vous occupez d’elle.

    J’étais assez fier de moi. Elle ne m’avait pas engueulé, et avais était compréhensive.

    Je quittai donc le lycée et marchai en direction de chez moi pour poser les sacs de courses et prévenir mes parents de tout ce remue-ménage.

    Ma mère était assise sur une chaise, et feuilletez ses magasines. Elle me souriait. Je lui avais envoyé un sms pour la prévenir que je ne passer pas la nuit ici, mais elle ignorer que j’étais allé à l’hôpital et tout sa … Je lui expliquai. Ses yeux s’agrandirent, et elle me prit dans ses bras.

    -Désolé maman, je ne veux pas t’inquiétez.

    -Ce n’ai rien. Comment va euh … Alexia ?

    -Bien.  Je retourne la voir. Bisous !

    Ma mère me salua et se retourna vers mon père qui avait tout entendu. Mais lui se soucier beaucoup moins de moi.

    Je marchai donc à pied jusqu’à l’hôpital et arrivai devant la chambre d’Alexia, essoufflez. Je frappai à la porte mais elle n’entendait pas. J’ouvrais la porte. Elle dormait paisiblement. J’entrer sans faire de bruit et lui caressais le visage. Soudain, son téléphone sonna, ce qui la réveilla. Elle grognait un peu, s’étirais et décrochez le téléphone. Elle le mit sur son oreille et commença :

    -Allo ?

    Je n’entendais rien, mais je voyais son visage devenir pâle. Sa bouche s’ouvrir sans émir de son. Je commençais à m’inquiétez sérieusement lorsque je l’entendais dire faiblement :

    -C-Comment elle a fais ?

    Je m’approche du téléphone pour mieux entendre. Mon sang se glaça :

    -Elle s’est suicidé.

    J’avais compris, à présent… Que la personne en question était Lola. Alexia raccrocha, et me regardais droit dans les yeux. Elle ne parlait pas. Ne bougeai pas. Je lui posais des questions, tentai de la rassurer, mais rien à faire. Je du appelez une infirmière pour la faire parlez … Mais rien à faire. Elle ne pleurait pas, rester ainsi, sans bouger ni parler.

     

    Cela faisais une semaine qu’Alexia ne parlais pas. Elle était sortit de l’hôpital hier. J’étais resté auprès d’elle sans arrêt. Elle ne mangea plus, si bien qu’elle à été nourris par des tuyaux … Cette nouvelle l’avait clairement  traumatisé. Ce fut un choc tellement gros pour elle. Et si elle voulait se laisser mourir ?!

    Je m’enlever cette idée de ma tête. Nous étions chez elle. Je ne savais pas pourquoi, elle s’avançait vers moi, me fixais longuement et me prise dans ses bras. Je ne comprenais pas pourquoi, mais elle n’osait plus bouger. Elle restait immobile, et après un long moment, je la sentais tremblante. Elle pleurer. Et je savais une chose : ce n’était que bien pour elle.

    Après un long moment de pleurs, où le salon s’était transformé en … Enfin, des mouchoirs rodaient de partout. Elle était toujours coller à moi. Je la tenais contre moi. Et j’attendais un peu pour pouvoir parler.

    -Tu sais, pour elle, la mort est une délivrance …

    -Je sais.

    Je n’en revenais pas. Alexia avais parlé … Enfin ! Après une semaine de silence, elle avais enfin parlé sans difficulté. Je savais que pleurer lui faisais du bien.

    -Elle veut que tu vives heureuse. Ne te fais pas souffrir, je suis sur qu’en ce moment elle pense à toi.

    -Kentin …

    Elle se blottit encore plus contre moi. Et après un long silence, je me rendais compte qu’elle s’était endormie ainsi.

     

    A présent un mois et deux jours s’était écoulés. Un mois et deux jours qu’Alexia avais pleuré longuement. Elle pleurer toujours, refusé de sortir, mais son moral revenais un peu plus chaque jour. Elle était suivie  par un psychologue. Peu à peu, elle reprenait l’appétit. Elle reprenait gout à la vie, et se rendais régulièrement à la tombe de Lola. C’est souvent à ce moment là qu’elle pleurait, d’ailleurs. Mais je ne pouvais qu’être heureuse pour elle, heureuse qu’elle aille mieux. Je sais qu’elle n’oubliera pas comme sa la mort de sa sœur, mais le temps l’aidera. Je sais qu’elle aurait eu envie de partager beaucoup d’autres moments avec elle. Mais elle finira par s’y faire. Je suis aussi très triste pour Lola. J’espère que la ou elle est elle se sent bien.

    Alexia revenais de son rendez vous chez le psy. Et elle me souriait.

    -Alexia ? J’aimerai te parler, je peux ?

     

    Elle accepta avec plaisir. 


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