• Chapitre 9 : L’amour sans obstacles.

     

    (Ce chapitre est plutôt banal, enfin je veux dire par là qu’il n’y aura pas de rebondissements, d’actions ou quoi que se soit. Enfin, appart un truc mais … Surprise ! Oui, l’histoire prend fin et ce chapitre est l’avant dernier, mais je tenais à dire que la Fan Fic prend fin à l’épisode 8, enfin l’histoire du départ. Sauf que les deux derniers chapitres en font quand même partit et sont important. Et surtout le dixième, il sera très spécial mais se sera une belle fin ! Bon trêve de bavardage, je vous laisse découvrir tout sa par vous-même. Bonne lecture !)

    *Kentin*

    Ils m’ont donné le nom de la chambre et m’ont vaguement expliqué comment m’y rendre. Normalement, les visites se finissent à vingt heure mais je leur est expliqué la situation, et je n’avais pas attendus quatre heures pour rien. Bref, j’ai parcouru les couloirs, ai monté au second étage et ai trouvé la bonne chambre. Dès que je suis rentré, Alexia m’a regardé et m’a souris chaleureusement. Mais la voir dans cet état me faisais de la peine : elle était allongé sur son lit, la couverture blanche recouvert son corps, et il y’avais une perfusion à son bras. Ainsi que des antis douleurs et d’autres choses. Ses cheveux étaient un peu ébouriffés. Avant même que je ne puisse lui parler, la porte s’est ouverte et j’ai tourné la tête. C’est une infirmière un peu pressé qui a fais quelques changements au fil qui reliais son bras au produits. Puis elle se retourna vers moi et me dit :

    -Elle a subis une opération, souffrante d’une Appendicite. Elle est donc un peu faible. Je vous ai installé un deuxième lit, je suis pose que vous dormez ici ?

    -Oui, merci.

    L’infirmière sortit de la chambre. Je m’approche d’Alexia et lui pris la main.

    -Haha, une Appendicite, une vraie cette fois ?

    Elle rigola légèrement avant de répondre :

    -Oui, une vraie cette fois. Finalement tout est rentré dans l’ordre.

    -Oui mon ange. Tu n’a plus rien à craindre.

    Il y’eu un long silence avant qu’elle ne reprenne :

    -Tu sais, je suis désolé pour tout. Parce que je ne savais plus ce que je disais tout à l’heure… C’est à cause de moi que tu vis tout sa…

    J’écarquillai les yeux et repris.

    -N’échange pas les rôles, c’est moi qui est à l’origine de tout. Pas toi. Tu n’a rien fait, alors arrête. Tu as fais une overdose de révélations, c’est ma faute. D’accord ?

    -Kentin … Merci. Et aussi … Merci de ne pas avoir tué à nouveau.

    -De rien … En parlant de sa, la police n’a jamais été au courant lorsque j’ai tué le type qui s’en est pris à ma famille. Je voulais qu’on en reparle mais …

    -On avait d’autres choses à régler, non ? Me dit- elle.

    -Oui… Mais je voulais vraiment te dire une chose. Tu es la seule à ne pas avoir eu peur et …

    -Tu m’as protégé tellement de fois. Tu as été protecteur avec ta mère comme tu l’as été avec moi. Je t’aime. Si tu veux oublier tout sa et ne pas passer ta vie en prison, ne pense plus à sa.

    Je l’embrasser et une larme coulais sur ma joue.

    -Merde… Dis-je.

    Elle rigola et pleurer, elle aussi. C’était une scène tellement émouvante que ce silence était agréable. Nous étions en train de pleurer comme deux gamins. Nous étions tellement heureux que tout sa sois finis. Après ce combat.

    La porte s’ouvrit d’un coup. Je me retourner. C’était Lola, qui fit un gros sourire et qui s’avançais vers Alexia pour lui faire un gros câlin. Puis elle me regarda.

    -Désolé d’arriver si tard, mais les flics m’ont pas lâché. M’enfin, tu va bien ?

    -Oui … Juste un peu mal au ventre avec l’opération mais ça va.

    -Ha oui, je viens de croiser une infirmière qui m’a dit. Mais on est là. Pas vrai Kentin ?

    Je lui souriais. Lola lui pris sa deuxième main.

    -J’ai ma grande sœur et mon copain à mes coter … Comment être plus heureuse.

    Ce fut au tour de Lola de verser une larme.

    -Tout à l’heure pleurer m’a fais du bien … Je pensais que pleurer n’était pas une bonne idée mais au bout d’un moment sa fais du bien d’évacuer cette tristesse… Et me dire qu’ils ne sont plus en liberté, ca me soulage tellement.

    -Sauf Leslina. Dis-je.

    -Elle est partit en Italie, on s’en fou !

    -Ha bon ? S’étonna Alexia.

    -Oui ! Sa mère vit là bas, elle échappe à la prison mais elle nous fout la paix. Répondit Lola.

    -Ha ...

    -Et au fait, je suis passé chez moi te prendre quelques vetements, j’ai posé le sac en dessous du lit.

    -Merci !

    Il y’eu à nouveau un long silence. Jusqu’à ce qu’une infirmière prévienne Lola qu’il fallait qu’elle parte. Elle fit un bisou sur la joue à Alexia et me fis la bise, puis attrapa son sac à main et partit, avec regret. J’étais donc seul avec Alexia. Je voyais qu’elle commençait à se fatiguer alors je vérifier qu’elle soit bien installée. Je remettais son cousin plus bas dans son lit, remettais la couverture sur ses épaules et déposez un baisez sur ses lèvres et éteignis la lumière. Même si je n’étais pas confortablement installer dans mon fauteuil, je trouvais le sommeil, certes plus lentement qu’Alexia mais quand même. Je m’endormais tranquillement, sans trop d’encombres.

    *Alexia*

    Je me réveillai lorsque l’infirmière m’apporta mon petit déjeuner. J’ouvrais difficilement les yeux, aveuglée par la lumière. Juste à coter de moi se trouvais Kentin, qui me souriais. Moi ce matin je n’allais pas vraiment bien, j’avais extrêmement mal au ventre, j’avais la tête qui tourner, et je ne sentais toujours plus mes jambes (Anesthésie générale …)

    -Vous avez bien dormis ? Me demanda l’infirmière.

    -Euh … O-Oui …

    -Ne vous inquiétez pas, le matin après une opération nous laisse dans ce genre d’état, je vais vous mettre sous anti-douleur.

    Elle me refit une perfusion qu’elle reliait à un autre produit. Je la remerciais et avant de partir elle me dit :

    -Essayez de manger au moins un petit peu mademoiselle.

    J’hochais la tête et fut aider par Kentin à me relever un peu, histoire d’avoir le dos sur les cousins. Kentin mettais le plateau sur mon corps. Mais cette nourriture me dégoutais. Je n’avais pas faim.

    -Comment tu te sens ? Demanda Kentin.

    -Euh … Ben … Un peu malade mais ça va.

    Il me fit signe de manger ce que je fis. Mais après avoir croqué dans la biscotte, je n’en voulais déjà plus. Je retirais le plateau de sur moi et croisai les bras.

    -T’es d’une humeur toi … Tu veux quelque chose ? Me demanda Kentin.

    -Un câlin.

    Il me fit un grand sourire et me pris dans ses bras. Je restais comme sa plusieurs secondes. C’était la seule chose d’ont j’avais besoin.

    -Il faut que tu te repose un peu, d’accord ?

    Je lui souris avant de lui répondre :

    -Tu peux m’aider à me relever ? Je voudrais prendre ma douche.

    Il enleva la couverture qui recouvrais mon corps et me portais jusqu’à ce que mes pieds touchent le sol. Il enlever la perfusion de mon bras. Sauf que je ne sentais toujours plus mes jambes.

    Kentin m’aida donc à marcher jusqu’à la douche. Puis j’essayer de me débrouiller comme je pouvais en m’asseyant dans la douche. Je faisais un Shampooing à mes cheveux et savonner mon corps. Puis j’enrouler une serviette à mon corps et une à mes cheveux avant de rejoindre Kentin.

    Je pris une robe du sac de vêtements à Lola et m’habillais dans un coin de la chambre. Puis je brossais mes cheveux avant de retourner dans mon lit.

    -Je vais faire quelques courses et raconter ce qu’il s’est passé à mes parents, je reviens vite.

    -D’accord, je t’aime.

    -Moi aussi.

    Kentin partit alors je fouillai dans le sac de vêtements. Lola m’avais laissé un livre, que je lisais avant de m’endormir.

    *Lola*

    *Flash Back*

    Maeva courais partout, un tube de bulle à la main. Parfois, elle soufflait et une multitude de bulles volaient. Elle s’amusait dans le jardin, à cueillir des fleurs. Elle aimait tout, et son attention se centrer sur tout et n’importe quoi. Qu’elle  aime ou qu’elle n’aime pas quelque chose, elle était passionnée.

    Le vent souffler, alors elle rentrer à la maison, moi derrière elle. Elle disait avoir faim, alors je lui préparer un gouter. Elle manger en me remerciant. Et elle me disait :

    -Dis grande sœur, si un jour je meurs, comme papa et maman, est ce que tu me rejoindras ?

    Je la regardai, et lui répondais d’un ton neutre pour cacher mon inquiétude :

    -Bien sur … Mais avant, je me vengerai de la raison de ta mort.

    Elle me souriait. Et partait s’amuser à nouveau, une fois le soleil revenu.

    9 ans plus tard :

    Elle avait à présent quinze ans. Elle sortait pour voir ses amis. Nous venions de nous disputez. Elle avait claqué la porte. Mais je me soucier de son état : elle venait de saccager la maison. La raison de notre dispute n’était pas à prendre à la légère. Après lui avoir donné l’ordre de faire ses devoirs, elle m’avait crié : « tu n’es pas ma mère ». Je sentis un pincement au cœur. Depuis son plus jeune âge, depuis ses deux ans et demi, je veillais sur elle. J’étais prête à donner ma vie pour elle. Comment pouvais t’elle dire … sa ?

    J’attendais qu’elle s’éloigne et la suivais. Seulement, j’étais sortit trop tard, je ne la voyais plus. Je fouillais les rues pour la retrouver. Plus les minutes passaient, plus je m’inquiétais. Et au bout de trente minutes, j’entendis un bruit. Un cri. Ce cri, c’était celui de ma sœur. Un cri aigu, accompagné à des « Lâchez-moi ! » « Je vous en supplie » ou encore « Tout mais pas sa ! »

    Je courrais vers l’endroit où les cris se faisaient entendre de plus en plus fort dès que je m’avançais.

    Et j’entrai dans une salle étrange. Elle était assez spéciale. Mais le scénario me rappeler celui d’un film d’horreur. J’étais terrifié en voyant ma sœur, allongée, presque nue, le corps en sang. De partout. Son ventre était presque ouvert, et ses yeux s’ouvraient grandement. Mais elle n’eu ni la force de tourner la tête vers moi, ni la force de crier encore. Elle s’étouffa avant de me laisser déduire qu’elle était morte. Je voulais pleurer. Mourir.

    Je m’approchai de l’homme qui l’avait tué, même s’il n’était pas seul. Je le fixais, et sortait un couteau. Je traçais une ligne sur sa cuisse, le tissu de son pantalon disparaissait. Du sang écarlate coulait.

    -Connard. Dis-je avant de baissais les yeux et de m’en aller. Il me regardait, bouche bée. Il n’osait plus bouger. Et lorsque je partais, j’étais terriblement perdue. J’empêcher ces perles d’eau couler le longs de mes joues. Je me disais : « Je vais te venger, ensuite je te rejoindrai, petite sœur. »

    Ainsi je rentrai, malheureuse comme jamais.

    *Fin du flash Back*

    -Haaaaaa !

    Je me levai brutalement de mon lit et respirai bruyamment et fortement. Je reprenais mes esprits quelques minutes plus tard. Je tournai la tête. Et là, je n’y croyais pas.

    -Grande sœur …

    Sa voix douce… Ces deux mots prononcer dans un sourire innocent. Ses longs cheveux cendres qui tombaient le long de ses épaules. Ses yeux rouges aussi, et ses longs cils noir. Ses lèvres rosées. C’était elle.

    Je sortais de mon lit, tremblante. Je n’y croyais pas. Je lui disais, sanglotant, d’une voix tremblantes :

    -Je … Je suis désolé.. Je vais quitter ce monde, je te le promets je …. Je suis désolé, de tout… Ne pas t’avoir dis je t’aime avant que tu ne parte et que.. Risquer ta vie et ces hommes qui t’ont … Je… Me suis… Pas assez … Vengée… Je suis… DESOLE !!

    Je pleurer encore plus fort. L’expression de Maeva rester la même. Je m’avançais vers elle, mais en voulant la prendre dans mes bras, je me rendais compte qu’elle n’existait pas. Non. Sa voix n’était qu’entendue par moi, car s’était une voix qui résonné dans ma tête. Son corps, lui, n’était pas devant moi. J’avais halluciner. Je ne sentais pas son corps. J’avais rêvé. Alors je me mis à terre, et donner des coups au sol. J’avais mal à la main.

    Si je voulais voir son visage pour de vrai, si je voulais l’enlacer pour de vrai, entendre sa voix pour de vrai … Je devais mourir. Et tenir ma promesse que je lui avais faite lorsqu’elle avait six ans. La rejoindre dans l’au-delà.

    Je m’apprêtai déjà à partir. Je ne m’habiller pas, et courais sur le toit de mon appartement. De l’immeuble.

    Je regardai une dernière fois le paysage, et montais sur le rebord. J’avais le vertige. Je regardais tout, toute la ville de Sweet City. Je prenais de l’air frais dans mes poumons et fermer les yeux pour tomber lentement. Seulement, je revoyais à ce moment là toute ma vie. De A à Z. Des moments d’ont je ne me rappelais même plus. Et d’autres d’ont je me rappelais parfaitement. Depuis le jour de ma naissance à maintenant. Je ne pouvais pas arrêter ce film que visionner ma mémoire. Alors que je penchée mon corps vers le vide, alors que mon pied était déjà dans le vide, je regardais le ciel. « J’arrive, petite sœur, mes chers parents aussi …. » Et je regardais une dernière fois en bas : « Je t’aime, Alexia. Pardonne-moi. Et vie heureuse. »

    Et je tombais. Et c’était la fin. La fin de tout pour moi… La fin de ma vie.

    *Kentin*

    Je marchai dans les rues et passais devant le lycée. Je décidai d’y entrer pour expliquer la raison de nos absences, à Alexia et moi. J’allais rester le temps qu’il faudra à Alexia d’être hospitalisée. Je traversais les couloirs et entrai dans le bureau de la directrice. Elle avait le nez dans ses papiers, mais levais la tête vers moi et me regardai de travers. Avant qu’elle ne puisse répliquer quoi que se soit, je la coupai.

    -Alexia à eu un accident, disons qu’elle à eu plusieurs problèmes de santé. Elle a subis une opération hier et va rester à l’hôpital quelques jours. Et moi je m’occupe d’elle.

    Soudain, elle détendue les muscles de son visage et eu du mal à parler. Elle se sentait un peu idiote, mais finis par dire, le regard ailleurs :

    -Je vois. He bien, je m’occuperai de désignez quelqu’un pour lui passez le cours. Merci de vous occupez d’elle.

    J’étais assez fier de moi. Elle ne m’avait pas engueulé, et avais était compréhensive.

    Je quittai donc le lycée et marchai en direction de chez moi pour poser les sacs de courses et prévenir mes parents de tout ce remue-ménage.

    Ma mère était assise sur une chaise, et feuilletez ses magasines. Elle me souriait. Je lui avais envoyé un sms pour la prévenir que je ne passer pas la nuit ici, mais elle ignorer que j’étais allé à l’hôpital et tout sa … Je lui expliquai. Ses yeux s’agrandirent, et elle me prit dans ses bras.

    -Désolé maman, je ne veux pas t’inquiétez.

    -Ce n’ai rien. Comment va euh … Alexia ?

    -Bien.  Je retourne la voir. Bisous !

    Ma mère me salua et se retourna vers mon père qui avait tout entendu. Mais lui se soucier beaucoup moins de moi.

    Je marchai donc à pied jusqu’à l’hôpital et arrivai devant la chambre d’Alexia, essoufflez. Je frappai à la porte mais elle n’entendait pas. J’ouvrais la porte. Elle dormait paisiblement. J’entrer sans faire de bruit et lui caressais le visage. Soudain, son téléphone sonna, ce qui la réveilla. Elle grognait un peu, s’étirais et décrochez le téléphone. Elle le mit sur son oreille et commença :

    -Allo ?

    Je n’entendais rien, mais je voyais son visage devenir pâle. Sa bouche s’ouvrir sans émir de son. Je commençais à m’inquiétez sérieusement lorsque je l’entendais dire faiblement :

    -C-Comment elle a fais ?

    Je m’approche du téléphone pour mieux entendre. Mon sang se glaça :

    -Elle s’est suicidé.

    J’avais compris, à présent… Que la personne en question était Lola. Alexia raccrocha, et me regardais droit dans les yeux. Elle ne parlait pas. Ne bougeai pas. Je lui posais des questions, tentai de la rassurer, mais rien à faire. Je du appelez une infirmière pour la faire parlez … Mais rien à faire. Elle ne pleurait pas, rester ainsi, sans bouger ni parler.

     

    Cela faisais une semaine qu’Alexia ne parlais pas. Elle était sortit de l’hôpital hier. J’étais resté auprès d’elle sans arrêt. Elle ne mangea plus, si bien qu’elle à été nourris par des tuyaux … Cette nouvelle l’avait clairement  traumatisé. Ce fut un choc tellement gros pour elle. Et si elle voulait se laisser mourir ?!

    Je m’enlever cette idée de ma tête. Nous étions chez elle. Je ne savais pas pourquoi, elle s’avançait vers moi, me fixais longuement et me prise dans ses bras. Je ne comprenais pas pourquoi, mais elle n’osait plus bouger. Elle restait immobile, et après un long moment, je la sentais tremblante. Elle pleurer. Et je savais une chose : ce n’était que bien pour elle.

    Après un long moment de pleurs, où le salon s’était transformé en … Enfin, des mouchoirs rodaient de partout. Elle était toujours coller à moi. Je la tenais contre moi. Et j’attendais un peu pour pouvoir parler.

    -Tu sais, pour elle, la mort est une délivrance …

    -Je sais.

    Je n’en revenais pas. Alexia avais parlé … Enfin ! Après une semaine de silence, elle avais enfin parlé sans difficulté. Je savais que pleurer lui faisais du bien.

    -Elle veut que tu vives heureuse. Ne te fais pas souffrir, je suis sur qu’en ce moment elle pense à toi.

    -Kentin …

    Elle se blottit encore plus contre moi. Et après un long silence, je me rendais compte qu’elle s’était endormie ainsi.

     

    A présent un mois et deux jours s’était écoulés. Un mois et deux jours qu’Alexia avais pleuré longuement. Elle pleurer toujours, refusé de sortir, mais son moral revenais un peu plus chaque jour. Elle était suivie  par un psychologue. Peu à peu, elle reprenait l’appétit. Elle reprenait gout à la vie, et se rendais régulièrement à la tombe de Lola. C’est souvent à ce moment là qu’elle pleurait, d’ailleurs. Mais je ne pouvais qu’être heureuse pour elle, heureuse qu’elle aille mieux. Je sais qu’elle n’oubliera pas comme sa la mort de sa sœur, mais le temps l’aidera. Je sais qu’elle aurait eu envie de partager beaucoup d’autres moments avec elle. Mais elle finira par s’y faire. Je suis aussi très triste pour Lola. J’espère que la ou elle est elle se sent bien.

    Alexia revenais de son rendez vous chez le psy. Et elle me souriait.

    -Alexia ? J’aimerai te parler, je peux ?

     

    Elle accepta avec plaisir. 


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  • Chapitre 8 : Vengeances

    (Ce chapitre seras écris en plusieurs parties, je vous les écrirai. Vous allez voir. Bonne lecture !)

    Partie 1 : Clans

    * ?*

    Je poussai un long soupire. Je quittai mon chez moi, claquai la porte, et traversez le jardin pour m’engageai dans les rues désertes de Sweet City. L’air était frais. Pas le temps d’aller chercher un Gillet. Je marchai, sans faire de pause. Je fixai les passants de mes yeux rouges. Je les effrayer.

    J’arrivai au lieu prévu. « Je ne dois pas entrer de suite. » Me dis-je. Alors, je me cacher dans un coin, discrètement. Je revoyais mes souvenirs, comme si c’était hier. Cette salle, qui était à la base la réserve d’un magasin qui se trouve à coter. Qui a fais faillit. A présent ce sont ces garçons qui ont les clés.

    Je regardai la scène. Au départ, il y’avais trois hommes : Un blond, un brun et un roux. Puis une fille. Que je connaissais parfaitement : Leslina. L’envie de la tuer me prit, mais je gardai mon sang froid et restai à ma place, fermant les yeux pour ne pas céder.

    Soudain, quelqu’un d’autre entrai. Mais attend … La fille, c’était … Alexia ?!

    *Alexia*

    Nous arrivâmes à l’adresse indiquée, légèrement en retard. Sauf qu’à notre grande surprise, ce n’était ni Armin, ni Alexy, ni Rosalya qui nous attendais. Non, mais en comprenant que nous étions tombé dans leurs piège, je m’en voulais terriblement. Eric, d’après Leslina, c’était le blond qui était le chef de la bande des garçons avec leur seringue. A coté si trouvais Christophe, le brun. Et un autre garçon, roux, du même âge, que je ne connaissais pas. Mais c’est moi qu’il fixait. Et vu la manière d’ont-ils se tenaient, je ne pu m’empêcher d’attraper le bras de Kentin qui venais à son tour de comprendre, et de l’amener vers la sortie, qui était proche de nous. La porte était fermée, à clés. Je regardais désespérément en quête de fenêtre ou de sortie, mais rien. J’allais pleurer. Kentin me saisi par le bras et me fis signe de m’éloigner le plus possible. Je suivais ses ordres, déjà traumatisée. Parce que je venais de remarquer qu’avec ces hommes se trouvaient Leslina. Elle me regarda et me souriais. Quoi ?! Leslina était avec eux ? Impossible. Elle m’avait supplié de l’aider à aller voir la police et porter plainte contre eux, et elle, elle n’a rien de mieux à faire que de trainer avec un gars qui à tenter de la tuer ?

    Je me secouer la tête. Je ne comprenais absolument rien. J’avais beau regarder de tout les coter, chercher des explications, je ne voyais que ce spectacle abominable. Kentin, qui se battait avec Eric. Sauf qu’à trois contre un, même fort, Kentin n’avais aucune chance. Leslina, elle, était assise sur une chaise, les bras croisés. Sa vengeance se réaliser sans qu’elle n’est rien à faire. Oui, je le savais, elle avait fais sa pour se venger.

    *Kentin*

    Le blond s’avançait vers moi et me donna directement un coup que j’esquivai. Il voulait se battre. Très bien.

    En revanche, je sentis un coup sur mon dos, et je tournai la tête. C’était le brun qui s’acharner sur moi. Et sur l’un des coter se trouvai le roux, qui lui me donna un fort coup de poing et me fis tomber à terre. Ils me frapper, et je n’avais pas un instant pour me défendre. Leurs coups étaient trop enchainer.

    Je me servais de mes jambes, car celle-ci étaient libres. Je levais la première jambe pour voir si j’avais la force nécessaire pour faire ce que je voulais. Je mis toute mes forces dans mes jambes et me relever, sans mes bras. J’étais libéré.

    Je les fixais, et m’avançais vers eux. Le principal était le blond, car quand je l’avais assommé, les autres hommes ont laissé tomber. J’espérai qu’il se passe la même chose … Sauf qu’à peine je m’avançais vers lui que les deux autres reprirent leurs coups incessants. J’étais désespérer. Surtout en voyant Leslina, tranquillement assise, nous regardant. Elle me souriait. Salle garce. Elle s’était associé avec eux.

    * ?*

    Alexia s’était assise au fond, dans ma direction. Mais elle ne me voyait pas. J’étais cachée. Elle trembler. Elle avait peur. Je la comprenais. Elle n’avait rien fais. Elle ne méritait pas sa.

    Je regardai la scène en clignant régulièrement des yeux. Me faisant une promesse : Je ne sauverai Alexia seulement lorsqu’elle sera en danger.

    Kentin commençais à fatigué, et les hommes se faisaient un malin plaisir à le défiguré. Je serrai mon poing.

    Soudain, Leslina se leva de sa chaise. Les garçons l’ignoraient. Mais pas moi.

    Elle traversa la salle, et se rendais au coter d’Alexia. Cette fois, je me préparer à partir, mais je me retins. Leslina n’avais rien à la main. Elle ne pourra rien faire.

    -Tu es venue ? Ma pauvre.

    Alexia se poussa immédiatement. Elle se leva.

    -Ne me parle pas !

    Alexia avait criée et Kentin s’était retourné pour voir ce qu’il se passer. Il se précipita vers Alexia. Mais Leslina se releva et l’empêcher d’avancer à plus de deux mètres de sa bien aimé. Il le prit très mal et lui donna un coup dans sa tête. Leslina tomba à terre.

    -Tu la touche et t’es morte. Avais t’il dit.

    -Haha ! Ne serais ce pas le contraire ? Tu me touche et tu meurs ?

    Aussitôt, Kentin se retourner et Eric lui mis un énorme coup, qui l’assomma. Du moins, sa tête était en sang et il ne bougeait plus.

    Alexia cria, se précipitant sur Kentin pour voir s’il aller bien. Celui-ci marmonner quelque chose. Alexia mis la tête de Kentin sur ses genoux, et semblais le protéger.

    -Pauvre conne ! Tu veux que je te fasse la même chose ?! Alors dégage ! Cria le roux, Thibault.

    -Ose la traiter encore une fois enfoirée.

    Kentin se relever, sous le regard étonné de tous. Mais au grand soulagement d’Alexia.

    -On compte pas mettre trois ans à tuer ta copine. Leslina, on tue qui en premier ?

    -Je veux qu’on les fasse souffrir avant. On verra qui tiendra le plus longtemps.

    *Alexia*

    Je pleurai. Comment sa, les faire souffrir ?! Elle voulait nous tuer, sans le faire d’un coup ? Se seras une mort lente ?!

    Je ne veux pas mourir. Ou alors dans d’autre condition.

    Kentin avais remarqué mon air inquiet. Pas le temps de me rassurer. Il s’était mis devant moi.

    -Tu va tout simplement rien nous faire. S’écria Kentin.

    -Je t’ai pas demandé ton avis. Répondis Leslina.

    -Mais moi non plus ! Je veux te dire un truc, se servir des autres pour se venger, c’est dégeulasse.

    Leslina écarquilla les yeux, et rigola.

    -En plus, tu préfère te venger d’une fille qui a refusé d’aller à la police avec toi plutôt qu’avec des types qui ont essayé de te tuer. En plus, tu t’es lié avec eux.  Dis-je.

    -Haha ! C’est une bien plus longue histoire.

    Alexia et moi nous regardions, avant de nouvelles révélations.

    * ?*

    J’étais toujours cachée, et j’attends que Leslina commence son récit. Qu’avait t’elle encore fait ? J’avais les mêmes doutes qu’Alexia.

    -Ha haha ! Il y’a bien longtemps, en quittant l’armée, Eric ma présenté ses excuses. Quand il a su que j’étais encore vivante. Et par la suite, Eric m’a demandé de l’aider à vous tuer en apprenant que vous vous étiez retrouvé à Sweet Amoris. Alors j’ai joué la comédie en vous inventant des mensonges. En vérité, j’avais avorté depuis bien longtemps. Et Eric à su avant vous que j’étais vivante.

    Je resté choqué. Tout comme Alexia, qui recula. Et qui répliquai :

    -T’es vraiment qu’une grosse peste !

    -Ta gueule ! Je ne te permets pas ! Répondis Leslina, perdant son sourire.

    -Elle a raison Leslina. T’es qu’une salle peste. Continua Kentin.

    Il y’eu un long silence.

    -Et si on faisait des petites présentations avant de reprendre le combat ? Moi c’est Thibault. Dis le roux.

    Kentin le regardai avec dégout. Certes, il avait envie de le massacrer. Mais je pense qu’il le regarder aussi avec dégout vis-à-vis de son style. Un style un peu démodé.

    Et la dispute reprit. Sans laisser plus de trois secondes à Kentin de l’observer, Thibault reprenais ses coups. Et lorsque le brun s’approcher pour venir aider son pote, Alexia l’en empêcher en lui prenant le bras.

    -Qu’est ce que tu m’veux ?

    -Tu ne t’en prends pas à Kentin, c’est clair ?! S’écria Alexia.

    -C’est bien mignon de défendre son copain, mais ce n’est pas une gamine comme toi qui va changer mes habitudes. Dégage.

    Il la poussa violement, si bien qu’elle fit un bond en arrière d’au moins deux mètres.

    Elle regarda Kentin, qui se battait avec le blond et le roux. Eric et Thibault.

    - On ne dit plus rien ? Reprit Christophe en voyant l’air déçu d’Alexia.

    -Je n’ai rien à te dire. Dis-t-elle sèchement.

    -Moi si. Tiens-toi tranquille où on passe aux choses sérieuses dès maintenant. Répondis Christophe.

    -Comment sa ?...

    Leslina affichais un grand sourire et s’approcher d’Alexia. Elle la prit par les bras pour l’empêcher de se débattre. Et Christophe partit chercher quelque chose et revint, une mallette à la main. Cette mallette, c’est ?!

    Christophe sortait une seringue. Et tous mes souvenirs se chamboulaient. Je devais être forte. Mais ma tête me provoquait une migraine atroce. Je devais me ressaisir. Ma gorge me faisait mal, à force de retenir mes larmes.

    Kentin, de son coter ne voyais rien. Et lorsque Alexia voulais échapper un cri, Leslina l’en empêcher. Et s’en attendre, Christophe lui plantais ce liquide jaunâtre dans les veines. Avec la triste réaction d’Alexia, qui savais qu’elle ne faisait que ce fatiguer d’avantage en continuant à se débattre. Sans réfléchir, je sortis de ma cachette, et courais droit vers eux : Leslina, Christophe, et surtout Alexia.

    Partie 2 : Un combat sans pitié.

    *Alexia*

    Je tournai la tête, surprise par le bruit que je venais d’entendre. Et là, je voyais quelqu’un qui se déplacer très vite vers nous. Lorsque cette personne s’arrêta, elle poussa les deux ennemies et m’enlever la seringue de mon bras. J’aperçus son visage. Mais … Ce n’ai pas ?

    -Lola !

    Ces yeux rouges, son style particulier, ses longs cheveux soyeux. Aucun doute.

    Elle m’adresser un joli sourire :

    -Comment tu va petite sœur ?

    Tout le monde nous regarder à présent. Même Kentin et les deux autres garçons, qui venaient de comprendre qu’un coup se préparer. Enfin, je pense surtout que seul Kentin l’ignora. Il courait à toute allure vers moi.

    -Bien …. Où était tu pendant toutes ces années ?

    Mais Lola n’eue pas le temps de répondre que Kentin la coupa :

    -Alexia, tu as une grande sœur ?

    -Ce n’ai pas ma vraie, mais c’est ma meilleure amie. Une très grande amie. Seulement lorsque j’ai déménagé à Sweet City, il y’a trois ans, juste après le soir où tu m’as sauvé, ont ne s’est plus vus.

    Lola sourit légèrement :

    -Oh, tu sais, dès que tu es partit à Sweet City, je t’ai suivis. J’ignorai seulement que ces hommes voulaient te tuer ce soir.

    -Pourquoi n’as tu pas agi en voyant que je me faisais régulièrement agresser ?!

    -Parce que j’avais entièrement confiance en Kentin.

    Celui-ci se retourner et écarquilla les yeux.

    -Elles se connaissent ?! Ont est mal les gars … S’écria Thibault.

    -En effet. Vous êtes mal. Répondis Lola avant de s’avancer vers eux. Sans que je comprenne comment, les garçons, les trois, plus Leslina, étaient allongés au sol, grognant de douleur. Lola se retourner vers nous et remettant ses cheveux en place.

    -Haha, je crois que pour eux, c’est perdu d’avance.

    Kentin s’approcher de moi et regardai mon bras

    -Heureusement que tu es vacciné et qu’ils n’ont pas injecté beaucoup de produit.

    Mais je l’ignorer et continuer mes questions :

    -Comment as-tu fais sa ?! Tu a vraiment des pouvoirs magiques ?!

    -Non voyons. Sa n’existe pas. J’ai simplement un don. Les gens ont tellement l’habitude d’entendre que j’ai des pouvoirs surnaturels qu’ils y croient. En vérité, tout est de la force. Je suis extrêmement forte en combat.

    Les garçons avaient l’air complètement assommé.

    -Tu ne sais vraiment pas de quoi ces mecs sont capables. Reprit Kentin.

    -Si. Je sais. Répondis-t-elle.

    Je plonge mes yeux dans les siens. Elle prit une profonde respiration et continua :

    -C’est eux qui ont tué ma sœur.

    Mon cœur se mit à battre très fort.

    *Kentin*

    Cette  fille, Lola, pouvais nous éclairer sur toute cette histoire. Beaucoup trop de questions restaient sans réponses.

    -Et si j’ai bien compris ces hommes t’on prévenue qu’ils tenteront de tuer Alexia ?

    Lola allée répondre quand Alexia dit, d’une voix pleine de terreur. Elle semblait dépitée :

    -C-C’est eux ?! Ils ont tué Maeva ?! Tu m’as dit qu’elle été morte dans un accident de voiture !

    Lola levais ses yeux rouges vers Alexia, la pris par la main et lui disais d’une voix réconfortante :

    -Je sais … Mais ce n’ai pas vrai. Et quand j’ai appris que c’est eux qui t’on agressé, j’étais désemparée. Ils foutent ma vie en l’air. Ma sœur, maintenant toi … Mais tu es partit, et je sentais que tu étais en danger. Alors je t’ai suivie à Sweet City. Mais je ne te voyais nulle part. Pour répondre à ta question Kentin, je ne m’en doutais pas. J’avais quelques doutes, car j’ai reçu un coup de fil de cet homme roux. C’est lui qui a tué ma sœur. Il m’a dit qu’il allait tuer quelqu’un, et que ce serais une opportunité pour moi d’y assistez. Il sous-estime ma force, puisque il va mourir.

    -Comment avais t’il ton numéro ? Demandais-je.

    -He bien … C’est Leslina qui leur a donné.

    Il y’eu un long silence qu’Alexia brisa, en reprenant ses forces :

    -T-Tu la connais ?

    Lola adresser un léger sourire à Alexia et baissa les yeux avant de répondre.

    -Oui … Nous étions amies, avant. Mais lorsque j’ai appris qu’elle te voulait du mal, je lui en voulais.

    J’avais du mal à croire tout sa. Alexia semblais désemparée. Décidément, elle était confrontée à tellement de danger. Elle avait été espionné de tout les coter. Leslina, les hommes, Lola et aussi moi pendant une période.

    -J-Je voulais savoir ce que tu m’a fais …

    Je me retournais en sursaut, intrigué par la faible voix qui provenais de derrière. C’était le roux, Thibault, qui s’était relevé avec difficulté.

    Lola aller intervenir mais je me dirigeai déjà vers lui et lui mis une droite. Aussitôt, il tomba au sol et retomba dans les vapes.

    -C’est quoi encore cette histoire ? Demandais-je.

    -He ben … Ils ont tué ma sœur ici, et j’ignore toujours pourquoi d’ailleurs … Bref, quand j’ai vu la scène, il été déjà trop tard. Je me suis dirigé vers lui et lui as coupé la jambe sans qu’il ne s’en aperçoive. Tu sais Kentin, je suis capable d’hypnotiser n’importe qui. Il était tellement choqué de mon regard que je portais sur lui qu’il n’a même pas sentis la douleur. J’avais l’espoir de me venger un jour, et ce jour est aujourd’hui.

    J’allais ouvrir ma bouche pour répondre mais j’entendis un bruit. Juste à coter, Alexia venais de tomber au sol, elle respirait très fort, et crier toute seule :

    -J’en peux plus ! Je veux plus, je peux plus supporter sa ! Lâchez-moi ! Je veux vivre heureuse, heureuse !! Laissez-moi tranquille avec vos histoires, laissez-moi crever !!

    J’étais tellement choqué que je n’eu pendant une fraction de secondes plus de reflexe. Moi et Lola nous précipitions vers elle. Je mettais ma main sur son front et fut terriblement surpris : Alexia était brulante.

    -Oh non … C’est rien, c’est l’effet de la drogue …

    -Quoi, ils en ont beaucoup injecté ?! Criais-je.

    -Non, en plus elle est vaccinée. C’est juste des effets secondaires, tout ce chamboule en elle. Ce n’ai pas physique. Il faut la calmer.

    Alexia, à bout de force, arrêté de crier et de se débattre. Elle n’ouvrait pas les yeux. Elle était inconsciente. Je la prenais dans mes bras et lui dégageai les cheveux de son oreille et lui chuchota :

    -Chut, tout va bien. Ils vont mourir, ne t’inquiètes pas.

    -Ne tue pas … Ne tue plus … Me dit elle, doucement, complètement affaiblit.

    Lola se levai d’un coup et dit d’une voix effrayante :

    -Tu as raison, ce n’ai pas lui qui va les tuer, c’est moi !!

    Et Lola courais vers eux, je rappelle Eric Christophe Thibault et Leslina. Ils étaient tous encore assommé, et alors qu’elle s’apprêta à lever la main sur eux je me levais et retint son bras. Celle-ci tomba à terre, désemparé, elle cria à son tour :

    -Ils ont tout détruit … Ma sœur, Maeva, la seule qui me donnait des forces… Je ne veux plus de cette image débile, celle qu’on me donne … C’est pas vrai, je suis pas la fille qui ne ressent aucun sentiments…

    Partie 3 : La fin du cauchemar

    Après toutes ces vérité, je savais que Lola et Alexia n’en pouvais plus. Mais c’était la fin, Lola venais de reprendre ses esprits. Toutes les larmes qui avaient coulées sur ses joues lui avaient laissé un visage remplis d’encre noir. Elle me fit un petit sourire pendant le long silence qu’il y’avais eu et repris :

    -Tu sais, je n’ai jamais pleuré de la mort de ma sœur. Je m’en interdisais, même si c’était très dur. Alors à présent c’est beaucoup d’un coup tu comprends …

    J’hochai la tête. Après un second silence, elle prit une profonde inspiration, elle lançait :

    -Appelle la police, moi j’appelle l’ambulance.

    Mes muscles se crispaient :

    -C’est si grave que sa ?

    -Elle ne se réveille pas, je pense que oui …

    Je m’exécutais et appelez la police pendant que Lola téléphoner de son coter. Tout le monde arrivait, l’ambulance en première. Ils se chargèrent d’installer Alexia et les hommes (Il y’avais plusieurs véhicules) pendant que moi et Lola expliquions tout à la police. Je me sentais beaucoup plus léger, aucune prison pour nous. En revanche pour les hommes, mineurs ou pas, ils ne sont pas passez à coter. Et Leslina n’a rien eu, mais elle va partir dans un autre pays. C’est elle qui a dis que sa mère était Italienne et qu’elle allait la rejoindre. Elle pleurait aussi, et s’excusais, elle devait enfin se rendre compte de la gravité de ses gestes.

    Je regardai la scène un peu dépité. Je m’inquiétais beaucoup pour Alexia, bien que les ambulanciers m’aient rassuré en me disant qu’elle aller se réveiller bientôt. Ils avaient tout de même détecté plusieurs problèmes de santé expliquant son malaise : Elle souffrait d’hypoglycémie, elle manquait de sang et pour finir elle avait eu une grosse migraine suite à toutes ces révélations. Elle n’été pas assez habituer, bien que depuis le début de notre relation il y’en a eu beaucoup … Des révélations, plus troublantes les unes que les autres.

    Je montais avec elle dans le véhicule. Lola, elle, allait témoignez à la police et m’a promis de me rejoindre à l’hôpital dès qu’elle aurait du temps libre.

    C’était la fin du cauchemar, cette fois pour de bon.

    Je tenais la main à Alexia et caressais son visage froid. Elle été pâle, avais les yeux fermer (logique). Son cœur battait un peu plus vite qu’avant, puisqu’elle avait reçu des soins d’urgence avant de démarrer.

     

    Nous étions enfin arrivés. Je patientai un long moment dans la salle d’attente. Tellement longtemps qu’il été près de minuit quand je pus enfin la voir dans sa chambre d'hopital. 


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  • Chapitre 7 : Un coup en préparation

    (Je tiens juste à vous prévenir que ce chapitre est un peu spécial et que parfois les scènes sont un peu … Glauque. Voilà bonne lecture !)

    Je les regardais s’enlacer, tels deux amoureux inséparables. Les beaux discours. Les belles paroles. Les gestes touchant. Tout cela était trop beau pour pouvoir continuer. Surtout après ce qu’ils m’ont fait.

    *Leslina*

    Je regarder ce spectacle du haut de mon balcon. J’avais à peine était surprise de les voir, parce que s’était prévisible, ils s’aimaient. Kentin et Alexia.

    De ce balcon d’ont j’avais la vue sur le parc situé près du lycée. Voilà comment je les espionner depuis bien longtemps ! Sans avoir à me montrer, je savais tout. Ils s’étaient disputé grâce à moi, aillant laisser Alexia dans le doute. Elle lui en a voulus de ne pas lui avoir dis son secret, alors Kentin l’espionner. Il la regarder lire, assise sur le banc du parc. Et un jour, Kentin à voulut lui avoué son secret, et ils se sont réconcilier.

    Je soupirai et lever les yeux aux ciels. Idiots. Ils ne s’étaient pas préoccuper de moi. Il leurs manquer la moitié du puzzle pour pouvoir vivre leurs amours publiquement. Enfin, sans danger.

    Je m’en allai, le sourire aux lèvres. Ils sont inconscients. Terriblement inconscients.

    J’entrai dans mon appartement, saisissez mon sac, et me rendez quelque part. Dans cet endroit où j’allais mettre au point mon plan pour pouvoir neutraliser les deux concernée.

    *Alexia*

    Nous étions au parc avec Kentin. Depuis hier, nous sortions ensemble, à mon plus grand bonheur. J’étais tellement heureuse.

    Kentin me prenais dans ses bras et m’embrasser, au beau milieu du parc, sous le regard amusé des lycéens à coter. Nous les ignorons. Après tout, j’étais plutôt heureuse de montrer à tout le monde que je sors avec Kentin. Parce que tout le monde nous l’avez dit, nous étions fais l’un pour l’autre.

    Puis le moment de rentrer chez moi est venue. Avec désespoir, je marchai jusqu’à chez moi main dans la main avec Kentin. Je lui fis un denier bisous et repartit tuer l’ennuie seule. Enfin, à peine rentrer, Kentin m’harceler de texto auquel j’y répondais avec des cœurs. Je faisais des citations, je mettais sur Facebook des photos de nous. Plus de trente personnes aimait déjà.

    Avant de me coucher je le voyais à la Web Cam, où nous parlions plus de deux heures. Vers deux heures du matin, je me couchai, en pensant à mon prince charmant. Kentin.

    *Kentin*

    J’éteins l’ordinateur et attendais le sommeil. Dans ma chambre plonger dans l’obscurité. Dans mon lit. Je m’endormais rapidement, après avoir passé une journée entière en compagnie d’Alexia. Bien que nous sommes ensembles depuis à peine quelques jours, elle rendait mes jours plus beaux. Et je ne regrette en rien ma déclaration d’hier. Elle m’assurait qu’elle n’y avait rien eu de déplacer, que c’était parfait. En réalité, c’était elle qui était parfaite.

    Le matin arrivai. Mais le beau temps semblait se cacher aujourd’hui, il pleuvait. Et pas qu’un peu. Aujourd’hui, on était vendredi. Le jour le plus attendu des lycéens. Sauf pour moi. Parce qu’au lycée, je restai avec Alexia et toute la bande. Et autant dire que les cours étaient bien mieux que les Week end.

    Je me levai en hâte, et me préparer sans trop d’encombre. Je saluai mes parents en avalant mon petit déjeuner et partit, enfilant ma capuche. Je devais accompagner Alexia au lycée. Alors je revenais chez moi et prenais le parapluie familiale, qui était posé juste à coter du canapé.

    Je marchai le long des rues et m’arrêtai devant l’appartement d’Alexia. Celle-ci arrivée avec un peu de retard, et tremblais de ce temps inhabituelle. Elle m’embrasser et se coller à moi. Mon bras gauche pour tenir le parapluie, l’autre pour entourer la taille d’Alexia. Elle posait sa tête sur mon épaule, ainsi nous marchions jusqu’au lycée, où Rosalya, Alexy, Armin et Iris nous attendaient. Ils sifflaient en nous voyant.

    -Ba alors, à fond les tourtereaux ! Nous taquinâmes gentiment Rosalya.

    -Oui, comme tu dis ! Lui répondis Alexia, en faisant la bise à nos amis.

    Puis nous entrâmes à l’intérieur pour nous protéger de cette tempête.

    *Alexia*

    Nous venions d’entrer dans le bâtiment, et nous nous asseyons dans la salle de classe. Je m’assois à coter de Kentin en ce cours d’SVT, Rosalya assise devant nous à coter de Lysandre, Armin et Alexy dans la rangée d’à coter. Nous discutions ensembles jusqu’à l’arriver tardive de notre prof, qui s’excuser de son retard, essoufflé. Elle fit brièvement l’appel et noter rapidement les noms dans l’ordinateur, et commençais son cours, comme si de rien n’était.

    Je me concentrer, et à un quart d’heure à peu près de cours, je reçus un mot de Kentin. Je le lisais et ne pu m’empêcher de lui sourire. Il y’avais marqué « On passe la soirée chez moi ce soir ? » Je lui répondais en écrivant juste en dessous : « Oui mon cœur <3 »

    La journée passais vite malgré tout, et j’été tout de même heureuse de passer la soirée chez Kentin. D’après lui ces parents n’étaient pas là. Je passer juste chez moi pour récupérer quelques affaires, (sachant que j’allais dormir là bas), et revenais avec mon sac. Mes cheveux décoiffés. Mes vêtements trempés. Kentin me disais :

    -Fais comme chez toi !

    Je lui souriais et lui disais :

    -Je vais prendre une petite douche, je reviens !

    Kentin hocha la tête et j’entrai dans la salle de bain. Une belle pièce avec une baignoire, un robinet, des toilettes. Je me déshabiller et prenais une douche chaude. Je me sentais tellement bien que je ne voulais plus sortir. Mais je le fis quand même, après avoir trainer un quart d’heure. J’enfilai mon pyjamas et descendais rejoindre Kentin, qui avais déjà mis la table et installé une casserole de pâtes.

    Nous mangions en parlant. De notre journée. Puis de notre programme pour ce soir.

    -On pourra regarder un film ?

    -Ok !

    Nous mangions, puis Kentin alla mettre son pyjama lui aussi. Nous nous brossions les dents et je me démaquiller pendant qu’il installer le film dans sa chambre. Je le rejoins après avoir fais un chignon. Puis je m’installai à coter de lui, en attendant que le film commence.

    *Kentin*

    J’installer le film « les âmes vagabondes », et pris Alexia dans mes bras. Elle sentait bon. Comme tout le temps.

    Je la réchauffais, puis nous regardions tranquillement le film en rigolant par ci par là, en faisant des remarques, bref. Au moment de nous coucher, j’éteignis la lumière et serrai très fort Alexia contre moi.

    -Bonne nuit.

    Elle dormait déjà. Et le sommeil vint très vite.

    *Leslina*

    Je frapper à la porte d’Eric. Celui-ci me faisais signe d’entrer.

    -Je savais que t’aller venir. Me dit-il aussitôt.

    J’admirer son appartement, remplis de bouteille de bière vide, de mégots de cigarettes et de cartons de pizza.

    -Et pourquoi ?

    -Assis toi.

    Je m’assois sur le petit canapé salit par du sang.

    -Tu viens pour me demander de t’aider hein ?

    -Oui Eric. Mais tu sais, quand j’ai rencontré Alexia, j’étais encore en guerre contre toi. Elle croit encore que tu ignore mon existence, et que je déteste.

    -Oui, je sais. Mes les choses ont changées. Qu’attends-tu de moi ?

    -On va y aller à la manière forte, sans perte de temps.

    Eric me souris.

    -Eh bien tu vois, ce soir même, l’histoire sera régler.

    Je faisais un grand sourire et répliquai avant de m’en aller :

    -Tout est déjà prévu.

    Je fermer la porte. Et je partais, sachant que la journée allé être longue … Enfin, la nuit.

    *Alexia*

    Je me réveillai difficilement, fatigué. Kentin dormais toujours, et son bras me tenais la taille. Alors je me retourner vers lui et l’embrasser. Celui-ci ce réveilla aussitôt et je ne put m’empêcher d’échapper un petit rire. Il grogna, déranger par le grand soleil que désignez la fenêtre.

    -Debout !

    Je lui donnai un coup d’oreiller, et ce fut partit pour une bataille de polochons. Je finis épuisé, sur lui, morte de rire.

    -C’est joyeux les réveils avec toi. Rigola-t-il avant de quitter le lit pour faire sa toilette.

    -Toujours ! Et tu fais quoi aujourd’hui ?

    -Je sais pas, tu veux qu’on fasse quoi ?

    -On pourrai faire une journée parc d’attraction ?

    A ma proposition, Kentin sourit :

    -Très bonne idée, teston ton courage !

    Je levai les yeux au ciel et enfilai mon tee shirt et mon jean. J’attendais que Kentin sorte de la salle de bain pour finir de me préparer calmement.

    -Je t’attends dans la cuisine. Me dit-il.

    -J’arrive !

    Je descendais comme prévu, après m’être préparé.

    Nous déjeunions en rigolant. Comme d’habitude, nous étions heureux.

    -Je vais m’habiller.

    Il m’embrassa sur la joue puis partit en direction de sa chambre. J’attendais en passant un coup de fil à Rosa, pour la prévenir. Celle-ci s’inventer encore toute sorte de scénario bizarre, sachant que j’avais passé la nuit chez Kentin. Elle revenait vite sur terre, puis je décrochai pendant que Kentin ouvrai la porte.

    -C’est qui lui ? Me demanda-t-il.

    -Elle ! C’est Rosalya ! Serais tu jaloux ?

    -Non pas du tout …

    Il rougit et je me mis à partir dans un fou rire incontrôlable auquel Kentin se joignit.

    Le parc d’attraction se trouvais assez loin alors nous avons pris le bus.

    * ?*

    -Flash Back-

    -Non !

    Le cri qu’avais poussé cette jeune fille, allongée par terre, était plein de pitié. Elle ne voulait pas mourir. Mais je savais bien qu’elle ne résistera pas à cette affreuse souffrance. C’était un véritable film d’horreur. Son corps, essayant de se lever en vain, était trop faible pour continuer de nier à quoi que se soit. La douleur disparaitra dans quelques secondes.

    -Non ! Répéta-t-elle, d’une voix souffrante.

    J’admirai le sang coulé à flot de partout. Ces mains. Son nez.

    Elle poussa des cris, mais crier lui demander un t’elle effort. Dans les conditions dans lesquels elle été tué, ce n’ai pas étonnant.

    -Alors, on finit par quoi ? On t’arrache le cœur en l’ouvrant ou on continue à t’ouvrir la peau ?

    La fille n’en pouvait plus. Elle poussait des cris, elle respirer comme elle le pouvait. Elle rassemblait toutes ces forces pour finir :

    -Nan … J’vous en supplie …

    -Tu es bien angoissé petite. Tu préfère quoi ?

    -Tuez moi directement … Tirez moi dessus, mais ne me faites plus souffrir…

    Je me tournai vers le blond, qui l’écraser de son pied.

    -Eric, t’entend ? Sors les armes à feu, mademoiselle en à marre. Lui dis-je.

    -De suite.

    La fille arrêter ses hurlements. Dans cette salle, noir, poussiéreuse, pleine d’araignes, elle aller mourir. Bien sur, une fois Eric partit chercher l’arme, je m’approcher de la fille sans qu’elle ne s’en aperçoive et appuya mon pied fort sur son ventre. Elle cria une dernière fois, mais quelques secondes après, elle ne disait plus rien. Elle ne respira plus. Elle était morte.

    -Connard.

    Je me retournai, et regarder cette fille, à peine plus grande que celle que l’on venait de tuer. La différence entre les deux étais flagrants, les mêmes cheveux. A peine plus cours pour celle-ci. Les yeux de mêmes couleurs. Les traits du visage identique.

    -Qui est tu ? Demandais-je

    Elle était sortit de nulle part. Elle s’approcha de moi. Elle me fixait, de ses yeux rouges écarlates. Elle portait des lentilles de contact, comme la fille morte. Elle s’approcher, sans que je ne recule. Elle était à présent à ma hauteur, après s’être mise à la pointe des pieds.

    -Ton pire cauchemar. Me chuchota t’elle à l’oreille, avant de partir comme si de rien n’était.

    Ses talons résonnés, et le bruit de ses pas devenaient de plus en plus insonores.

    Je la regardais partir. J’ignorai bien de qu’il s’agit, et j’ignorai pourquoi je n’avais plus bougé. Le choc ? Non. Je regardai mes jambes et me rendais compte qu’un énorme marre de sang couler juste en dessous. Mes jambes étaient blessées. Sans que je ne ressente aucune douleur.

    Je me retourner vers Eric, qui entrouvrait la bouche, sans comprendre.

    -C’est quoi sa ?…

    - Je ne sais pas …

    -Fin du Flash Back-

    Je sortais de mes pensées, en entendant la voix d’Eric.

    -Thibaut, tu m’entends ?

    -Oui oui. Répondis-je.

    J’été troublé. Ce soir, j’allais la revoir. J’en été persuader.

    *Alexia*

    Nous venions d’entrer dans les montagnes russes. J’été assise à coter de Kentin, à qui je m’accrocher fortement. Mon cœur faisais des bons, et une drôle de sensation parcouru mon cœur lorsque notre wagon descendais à toute vitesse la pente. Je criai. J’évacuer toute cette joie. J’étais heureuse, je devais en profiter.

    Bientôt, nous allions monter. Notre wagon était penché, si bien que je cru tomber en arrière. La montée était lente. Je fermai les yeux. Et nous étions repartis pour un tour. Une grande vitesse. Des vertiges.

    Puis le tour de manège se termina. Nous descendions. J’avais les jambes qui tremblaient, et je souriais à Kentin.

    -Je n’ai plus de voix ! Dis-je.

    - Moi, je n’ai plus d’oreille. Rigolais t’il.

    Nous nous mettions à rire et à marcher sans but précis, dans n’importe quelle direction. Nous étions à présent en train de faire la queue pour un autre manège, quand le téléphone de Kentin émit un petit son.

    « Sa te dis de venir au centre ville, à coter de la maison abandonné ? Ce soir, à vingt heures, on y sera avec Rosa et la bande. Nous avons prévu de fêter toutes ces belles choses. Et au fait c’est Armin j’ai changé de téléphone.» 

    Je lisais par dessus l’épaule à Kentin.

    -Oh Armin !

    -Oui. On y va ce soir ?

    -Oui !

    Nous nous embrassions et ce fus notre tour de prendre place dans le manège. Une montée d’adrénaline. Un plaisir partagé.

    * ?*

    Je me levai précipitamment. Il était seize heures. Je n’avais pratiquement pas dormis de la nuit, alors j’avais dormis le jour. Je ne supportais pas le jour. J’étais nocturne.

    Mon téléphone vibrait. Un appel. Un numéro inconnu. Et je décrochai, de ma voix sèche et précise :

    -Allo.

    C’était un homme à l’appareil. J’écoutais ces mots. Et je faillis casser mon téléphone en entendant l’homme qui me parlait. Je le connaissais.

    -Viens ce soir. Tu à dis être mon pire cauchemar, viens nous le prouver ce soir. Au même lieu qu’il y’a quatre ans, tu te souviens ?

    Je me crispai. Et je répondais encore plus sèchement :

    -Qui vous à donner mon numéro ?

    -Leslina.

    Je soupirai. Je mis ma main sur mon front, et décrochez. Il ne savait pas si j’allais venir. Moi, je savais pertinemment. Alors comme sa, il penser que ce serais une opportunité pour moi ? Que je pouvais me venger ainsi ? Idiot. Je pouvais me débrouillez seule. Il n’était pas au courant que pour moi, ce n’étais qu’une question de temps ? J’attendais simplement que le temps ne panse ma douleur. Pour n’avoir aucune pitié pour ma sœur morte à cause d’eux. Parce que s’il apprendrait que c’était mon point faible, je suis mal.

    Je descendais de mon lit, m’approchez de mon grand miroir qui me reflétez. Les cheveux longs jusqu’au épaules, bruns, et mes yeux rouges. Des cils noir et longs. Mes lèvres rouges qui s’assortissaient à mes yeux. Pour eux, comme pour tous, j’étais la femme aux pouvoirs surnaturels. La femme sans émotions. Qui ne ressentez aucuns sentiments. Je devais garder cette image.

    Et je souriais, d’un sourire cruel qui prouvait une chose. Ils ne tueraient plus. Ceci est ma promesse.

    *Kentin*

    Nous étions assis sur un banc. Moi et Alexia. Qui semblais rire encore du tour de manège que nous venions de faire. Elle s’était beaucoup amusée. Et j’en été heureux.

    -Alexia ?

    Elle tournait la tête dans ma direction.

    -Oui ?

    -Je t’aime.

    Elle me sourit et appuya sa tête contre mon épaule.

    -Moi aussi. Me dit-elle avant de fermer les yeux.

    Il y’eu un long silence. J’en déduisais que la journée toucher à sa fin, comme Alexia paraissais fatigué. Je me levais, pour qu’elle en fasse de même. Et nous nous dirigions vers la sortie, main dans la main.

    Une fois rentrer chez nous, après avoir pris le bus donc, nous allions chez Alexia. Elle s’endormit, alors je décidai d’en faire de même. Nous nous endormions ensembles, attendant l’heure prévue pour revoir nos amis.

    * Thibault*

    J’attraper mon téléphone et rigolai. Sous le regard amuser d’Eric et de Christophe.

    -On va passer la meilleure nuit blanche de tous les temps.

     

    Ils partagèrent cette idée avec moi. Nous marchions comme si de rien n’était, Christophe tenant la mallette à la main. Plusieurs vengeances se préparent discrètement. Reste à savoir si ce petit couple ont eux aussi préparer un plan de rechange. Parce qu’il sera très dur de s’en sortir vivant pour eux …


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  • Chapitre 6 : Un secret avoué

    *Kentin*

    Je me réveillai en sursaut par mon réveil. J’avais eu du mal à m’endormir cette nuit, rongée par la peur. Aujourd’hui, je devrai avouer mon secret à Alexia.

    J’avais envie de renoncer à cette idée, de me rendormir et de dormir toute la journée pour oublier que j’ai une vie pourrie, que je suis malheureux, que je dois avouer l’inavouable à Alexia. A quelqu’un que j’apprécie beaucoup. Ce n’est pas comme si je le disais à n’importe qui. Loin de là.

    Je m’habiller, comme chaque matin, d’un pantalon militaire, tee shirt noir moulant, et chemise froissée. J’enfilai mon collier porte bonheur, mes chaussures, et fila à la salle de bain.

    Je voulais me faire beau pour Alexia. Parce que je veux qu’elle ait les yeux qui brillent en me voyant. Je veux l’impressionner. Lui donner ce que personne n’a su lui donner. Une chose qui ne s’achète pas. Une chose qui serait bien trop chère. Mon amour.

    J’ébouriffai d’avantage mes cheveux bruns tombant sur mes yeux, me brossais les dents et partit. Je dis au revoir à ma mère, qui avait l’air embarrassé de me voir raté tout les repas en ce moment. Je ne voulais pas l’inquiéter. Mais ce soir, je ne risquai pas de manger non plus.

    J’avais plus envie de vomir.

    Je marchai donc jusqu’au lycée, en regardant tout de chaque coter, comme si Alexia aller apparaitre. D’un coup, elle allait me sourire. Son sourire que je ne voyais plus, ce sourire qui me manque. Comme si la voir heureuse était un besoin vitale.

    J’arrivai au lycée un peu en retard, alors je m’excuser de mon retard à la prof d’Anglais. Je m’assis à coter d’Alexy, sortait mon cahier mais n’écoutez pas le cours. Alexia. Je fixai Alexia. Elle regarda tristement par la fenêtre. Elle rêvait. J’avais envie de lire dans ses pensées pour exaucer ces vœux.

    Toute mon attention fut sur elle, et pas seulement au cours d’Anglais. Le cour de Math aussi, de Français, d’Histoire Géo et de Techno. Oui, mais elle ne me regardait pas. Elle m’ignoré.

    Et lorsque je tentai de lui parler entre midi et deux, lorsqu’elle ouvrait son casier pour y chercher son sac, et que Rosalya n’été pas là, c’est peine perdue. Je m’avançai, mais mon angoisse m’arrêta. Mes jambes ne fonctionnaient plus, mon cerveau ne percevait que des images des gens qui m’en ont voulu après leurs avoir avoué mon secret. Non. Je ne pouvais pas.

    Et je partis de l’autre direction, pour me cacher dans les toilettes et me pourrir l’esprit. J’avais honte. Tellement honte.

    *Alexia*

    Tous les cours, du matin à l’après midi, j’avais regardé la fenêtre. J’avais pensé à Kentin. Quel pouvais être ce secret si bien gardé ? Et comment Leslina l’avais t’elle deviné ?

    Je ne m’énervé pas en pensant à tout sa, je n’été plus moi-même. Parce que je pensais trop, je voyais tout mal, tout partout, des zones d’ombres. Et lorsque je trouve la lumière, elle s’éteint aussitôt. Voici ce qui m’arrive.

    Je n’aurai pas bien fais d’aller en cours aujourd’hui. Parce que j’arrivai, je n’écoutais rien, je faisais peur à mes amis qui me conseillé de rentrer chez moi me reposer. Je m’enfermer dans la solitude. Et Rosalya se sentais coupable, alors elle changea complètement. Ce n’était plus elle. Et sa m’inquiétez beaucoup.

    La seule manière d’évacuer mon chagrin, s’était d’aller sur le Facebook de Kentin, de voir sa photo de profil, et de la contempler des heures. Je parlais à cette photo. Je parlai à mon ordinateur. Parce que j’avais envie de parler à Kentin. De le serrer dans mes bras. Et de lui avoué ce que je ressens pour lui.

    Rien que l’idée d’être séparé de lui me foutais le cafard. Je pleurer, j’écouter de la triste musique, je me faisais du mal, physiquement en me tapant moi-même. Parce que je me trouvais laide, en me regardant dans le miroir, les yeux noirs. Je me trouvais des défauts partout. Les phrases que me disaient Kentin me résonné dans ma tête. J’entendais sa voix. Et je croyais mourir d’une migraine après sa.

    Et sa, encore le lendemain, le sur demain, et ainsi de suite. Malgré tous les efforts que faisais Rosalya pour me réconcilier à la vie, pour me faire sortir, manger, rire, j’ignorai tout. J’ignorai Kentin. Il voulait me parler, je le savais, mais dès qu’il s’avançait vers moi il renoncer. Je ne me sentais pas prête à lui parler. Mais mon chagrin resté fort, je crois même qu’il empirer. Oui, je déprimé véritablement. Et mes journées se résumé à « Pourries ».

    *Kentin*

    Les jours passaient, mais la force et le courage me manquaient pour pouvoir parlé à Alexia. Je ne suis pas un vrai homme. Comment est ce possible, pour un homme qui a fais l’armée, d’avoir constamment envie de pleurer et de prendre une fille dans ses bras ? En plus, dès que je la voyais, elle n’allait pas bien. Elle ne se maquillé plus, ne s’occuper plus d’elle. Elle ne séchait pas les cours, mais regardé quelque part et rester fixé sur sa. Elle ne parlait pratiquement plus. Et elle maigrissait à vue d’œil. Elle se faisait du mal à cause de moi. Rien qu’à cette idée, je me sens mal et crétin. Inutile.

    Je voulais juste croiser son regard. Ses yeux noisette. Ses lèvres roses me sourire. Ses longs cheveux qui passer entre ses fins doigts. Et son corps fin. Pas maigre.

    A mes yeux, Alexia était l’exemple de la perfection. Mais là, bien que mes sentiments sois les mêmes, je ne la trouvais pas aussi belle qu’avant. Moi qui la voyais souriante il y’a deux semaines déjà, à présent elle ne me parlait plus. Elle était malade. Si bien qu’un jour, après les cours, je décidai de la suivre. Elle marchait seule et lentement. Elle pleurer. Elle marchait jusqu’au parc, s’assis sur un banc, et lisais son livre. Elle tournait les pages, et je voyais ses yeux lire les lignes écrites. Elle lisait et son chagrin disparaissait. Elle été ailleurs, ne souriais pas, mais elle été « neutre ». Elle se concentré, ne bouger pas. Je rester cacher deux heures d’affilé, la regardant lire sans pouvoir m’arrêter. Elle partait. Elle rangea son livre dans son sac, se levai du banc, et partait chez elle. Je la regardais partir, la suivais, pour la protéger de tout danger. Elle rentrée saine et sauve dans son appartement, et je ne la voyais plus. Je dus rentrer chez moi, dans le même état, me promettant de la suivre ainsi chaque soir.

    *Alexia*

    Je venais de rentrer chez moi après avoir lu mon livre sur le banc situé dans le célèbre parc où nous avons vécus temps de mésaventures Kentin et moi. J’avais lu ce livre que je lisais depuis deux semaines. Je ne lisais que des choses psychologiques, mais rien de ce que je lisais ne me remonter le moral. Mon quotidien avait changé. A présent je dormais tout mon temps libre, sauf quand je lisais. J’écoutais les mêmes musiques, notamment « So cold » de Nikisha Reyes. Et cette musique est vraiment triste. Tellement que je m’enfermer encore plus dans ma bulle de solitude, je pleurer encore plus.

    Les cours devenaient laçant, épuisants, ennuyants. Si bien que ma moyenne chutait, mes notes aussi. A chaque contrôles j’écrivais mon nom et laisser la copie blanche. Je n’avais pas réponses aux questions inscrites. Comme je n’avais pas réponses aux questions que je me posais dans ma tête.

    Je ne mangeai plus. Je ne vivais plus. J’avais été convoqué plusieurs fois dans le bureau de la directrice, mais je ne disais rien. On m’avait forcé à parler à un psychologue, mais je n’avais rien dit. Parce que parler de toute cette histoires me déchirer encore plus le cœur.

    Chaque soir j’allais au parc, je m’assois sur « mon » banc, et je lisais. Mes peines s’estomper provisoirement. Mais elles reprenaient aussitôt après avoir finis ma lecture. Je rentrer chez moi, et je repartais dans mes musiques, mes larmes, mes sommeils…

    *Kentin*

    Alexia pourrissais sa santé. Chaque soir, après les cours, elle lisait et rentrer chez elle. Cela faisait une semaine que je l’espionner. Et trois semaines qu’elle m’ignorait. J’été le seul à arranger son état. Alors, avec toute ma volonté, mon courage, je décidai de m’assoir sur son banc un soir. Je savais l’heure à laquelle elle allait s’assoir. Après les cours.

    Elle avais vu que j’été assis à sa place, et heureusement, elle s’avançait vers moi. Elle avait ce visage triste qui me brisé le cœur.

    Elle ne bougea pas, moi je chercher la force de parler. La force, mon dieu, je vous en pris …

    Je commençais doucement, tremblant de tous mes membres.

    -Il a l’air bien ce livre.

    Elle me regarder droit dans les yeux, pour la première fois depuis trois semaines. J’été heureux. Parce que j’avais enfin réussir à lui parler.

    -Oui. Tu devrais le lire.

    Sa voix avais beaucoup changée, elle était triste et sans émotion. Elle était hésitante, tremblante. Comme si parler la faisais souffrir.

    -Ecoute Alexia…

    Elle me regarda. Je lui pris doucement sa main, elle se laissa faire.

    -Je dois te dire mon secret. Mais tu va m’en vouloir. Mais je préfère que tu vives heureuse même si tu m’en voudras toute ta vie.

    Elle ne bougea pas, mais m’encourager du regard à continuer. Je pris une profonde inspiration, et me lançais, sans réfléchir :

    -J’ai tué quelqu’un. Quelqu’un qui à fais du mal à ma famille. Il s’en ai pris à ma mère, il était cambrioleur. Ma mère était terrifié, alors j’ai empêché ce type de s’en prendre à elle. Je revenais de l’armée. Je venais de t’avoir sauvée. C’était le même soir. Et je me sentais mal, coupable de tout. Je l’ai tué en lui enfonçant un couteau dans le cœur.

    Son visage n’avait pas changé. Toujours cet air triste. A mon grand étonnement. Je pensais qu’elle allait s’enfuir en courant. Mais sa réaction fus bien différente, étant donner qu’elle s’approcher de moi, mis ses bras autour de mon coup, et me serra fort contre elle. Je ne pu résistez, je la serra fort contre moi, heureux comme jamais. Je lui avais avoué mon terrible secret. Et au lieu de me fuir, elle me fait sentir son agréable parfum, elle me prend dans ses bras. Et l’énorme poids que j’avais sur mes épaules disparut, laissant place à un bonheur intense.

    *Alexia*

    J’avais enlacé Kentin, parce que, même s’il avait tué quelqu’un, il me la dit. Et surtout, il m’avait terriblement manqué. Sentir ses bras m’entourer la taille, c’était la seule chose qui était capable de me remonter le moral. Et je voulais rendre ce moment éternel. Je restai longtemps dans ses bras, sans bouger, en profitant pleinement de ce qui m’arriver.

    Après m’être dégagé, lentement, je regardai Kentin dans les yeux. Il avait peur. Il avait tué quelqu’un, mais il avait sauvé sa famille. Il était en colère. Il venait de me sauver. Je ne pouvais que l’aimer d’avantage.

    -Pourquoi tu avais peur de me le dire ?

    -J’avais peur que tu ne m’en veuille.

    Je lui souriai.

    -Je ne suis pas dans l’histoire. Enfin, pas tout à fait. Mon devoir est de t’épauler, pas de te laisser tomber.

    Et il me fit un chaleureux sourire. Je voulais remercier dieu à ce moment là. D’avoir fais avouer à Kentin ce secret. Je ne me sens pas en danger. Parce que je ne rejette pas les gens pour leurs erreurs. Il a grandis mentalement, je le sais.

    -Tu es parfaite … Me chuchota t’il en me prenant la main.

    Je lui souriai. Je le remercier. Et je jetai le livre psychologique, parce que je n’en ai plus besoin. Parce que je suis heureuse. Et demain, j’allais pouvoir rassurer Rosalya convenablement. Lui dire que je vais bien. Et qu’elle aussi, je l’aime.

    Finalement Kentin m’a raccompagné chez moi, dans la  rigolade. J’ai posé sa tête sur son épaule, et il m’a serré une dernière fois contre lui. Je ne l’ai pas embrassé, mais sa ne saurais tarder …

    *Kentin*

    J’attendais qu’Alexia sois rentrée chez elle pour m’en aller. J’été heureux comme jamais. J’adorer la vie. J’aurai du lui avoué mon secret si j’aurais su que c’était plus simple. Parce qu’à présent, je l’aimais, fortement. Elle était à nouveau proche de moi. Et en chemin, je me suis fais une promesse que je tiendrai quoi qu’il arrive : Elle sera toujours heureuse, quoi qu’il arrive.

    Je rentrai chez moi, je mangeai avec mes parents, je leurs souriai. Et je faisais mes devoirs. Je prenais ma douche, me préparer à me coucher. Et vers minuit, je lui envoyé par sms : « Bonne nuit. »

    Et je m’endormis, ma chemise dans ma main, imbibé du parfum que portait Alexia.

    En me réveillant j’eu hâte d’arriver au lycée pour voir Alexia. Je m’habillai, me coiffer, et toute la routine. Je savais qu’aujourd’hui, ce serai un jour très spécial. Je voulais lui offrir une superbe soirée, où elle s’en rappellera toute sa vie. Je me parfumer, et partit avec mon sac à dos sur les épaules. Je marchai en dégustant des petits princes. Et une fois arriver au lycée, devant la grille se tenais cette fille, Alexia. Elle était magnifique, avec une petite tenue simple, aux couleurs d’été. Une magnifique coiffure. Un magnifique maquillage. Elle serra tous ses amis dans ses bras, elle rigolait. Et Rosalya s’approcher de moi.

    -Merci.

    Il me souri et partit aussitôt. Moi je m’approcher d’Alexia, nous nous écartions un peu de sa bande d’amis. Après l’avoir saluer, je lui demandai :

    -Tu fais quoi ce soir ?

    -Rien, pourquoi ?

    -Je viens te chercher à vingt heures pour t’amener quelques parts.

    Elle souriait, et me confirma ma proposition. Heureux, j’allais en cour, suivis par Alexia et sa bande.

    *Alexia*

    Kentin m’avais invité quelque part, je ne pouvais qu’être heureuse. Aujourd’hui, je m’étais fais belle, j’avais pris le temps de me préparer pour être parfaite. Kentin aussi était beau, sa c’est sûr. Il portait sa tenue habituelle, qui lui donner un style très particulier, il était unique. Il était à moi. C’était MON Kentin. Le mien.

    Je marchai en sautillant jusqu’en salle de classe. J’écoutai le cours, au grand étonnement de la prof d’Histoire géo. Je répondais aux questions qu’elle me posait. Je regardais Kentin et lui souriais sans cesse. Cette joie de vivre devait durer. Si je n’étais pas seule, si j’étais avec Kentin, je serais heureuse toute ma vie.

    Au cours d’Anglais, je passais au tableau, je récitais mon texte en Anglais. Et j’été franchement heureuse de réciter cela, parce que je prouvé à tous que j’été contente. Que rien ne pouvais briser mon humeur, plomber mon moral. Même si on me tuer.

    Et en sport, je participé enfin au cour, pour la première fois depuis les trois semaines précédentes. J’attrapais la balle et courais. Je faisais exprès de la prendre sans arrêt à Kentin, pour passer du temps avec lui. Et je rigolais tellement que j’en eu mal au ventre. C’était vraiment ma journée préféré, ou je n’ai pas, même pas une seule fois, pleuré. Non, je rigolais, je souriais, à la vie, à toutes ces belles choses.

    Je mangeai avec Kim, Iris, Melody et bien sur Rosalya. J’avais besoin de conseils de filles, je leurs raconter toute l’histoire. Tout depuis le début. Elles n’en croyaient pas leurs yeux, ce que je comprenais. Mais qu’importe. Elles m’avaient cru, m’avaient pardonné mon caractère ces derniers temps. De toute façon, j’avais totalement changée.

    Puis la fin des cours arriva. Rosalya et moi sortions me trouver une belle robe pour ce soir, alors j’enfilai dans les cabines plusieurs robes. Et j’ai eu un gros coup de cœur pour une robe noir à dentelle sublime.

    Il y’avais un nœud derrière, et j’avoue que de toutes mes robes celle-ci est la plus belle.

    Je rentrai chez moi, et me changeai donc avant vingt heures. La coiffure était réaliser avec soin, j’avais fais de belles boucles régulières, ce qui était vraiment une bonne idée, puisque cette coiffure aller parfaitement avec la robe.

    Je mettais des petits talons noirs et puis finis par faire un beau maquillage à l’Eye Liner. En me regardant dans le miroir je souriais de mes dents blanches. Et j’attendais, assise sur une chaise, que Kentin vienne.

    *Kentin*

    Je ne m’étais pas habillé comme d’habitude. J’avais mi une chemise chic noire, et un jean. Et j’avais coiffé mes cheveux comme Alexia les aimes. Ebouriffer.

    Je m’étais parfumer puis je sortais, direction la maison d’Alexia.

    J’arrivai devant chez elle et frapper à la porte. Une magnifique jeune fille m’ouvrait la porte. Alexia, une princesse. Ma princesse. Elle portait une magnifique robe, elle était coiffée tellement bien. J’étais sous le charme. Et je lui adresser un long sourire.

    - Comment me trouves-tu ? Me demanda-t-elle.

    -Parfaite.

    Elle me souriait. Enfin, elle m’adresser un véritable sourire.

    Je n’avais jamais ressentit ce sentiment. En la voyant, j’été comblée. Je ne voyais qu’elle. Je voulais la prendre dans mes bras, l’embrasser. Je l’aimais. Et pour toujours. Parce qu’Alexia, c’est la seule fille capable d’avoir consolé mon chagrin d’amour. Elle ne le savait pas, qu’une fille m’avais brisé le cœur. En vérité, elle a toujours été elle-même. Je voulais faire de cette soirée la meilleure de tous les temps.

    Puis je lui prenais la main. Sa main froide, comparé à la chaleur de mon corps. Je marchai, à coter d’elle, l’aimant un peu plus chaque seconde.

    Nous arrivions au restaurant. Un chic restaurant, parfait pour faire une déclaration. Il y’avais des lumières, un décor bien particulier. Des assiettes qui brillaient. Des verres en flutes positionné au centimètre près à coter.

    Tout me paraissait unique. C’était la première fois que j’entrai dans un restaurant comme sa au coter de la plus belle fille au monde.

    Nous nous asseyons et nous prenions la commande. Alexia prenais le plat le moins cher, mais après lui avoir fais la réflexion, elle changea contre des pâtes fraiches carbonara.

    Je prenais un rôti, et quelques assortiments. Nous mangions en parlant, en discutant de beaucoup de choses. J’en apprenais un peu plus sur elle. Bien que j’avais l’impression de la connaitre depuis toujours.

    Nous mangions tranquillement notre dessert. Elle mangea une glace. Lorsqu’elle l’avait finie, je lui prenais doucement la main et commençai mon récit :

    -Alexia …. Tu va surement trouver sa précipiter. Je sais que je t’ai fais souffrir et que je ne devrais pas me permettre de faire une telle déclaration. Mais je tiens beaucoup trop à toi pour te le cacher. Le jour, la nuit… Tu as fais le sujet de mes pensées, depuis le jour de notre rencontre. Je voyais dans ton regard la peur. Mais je voulais te protéger chaque seconde. Que tu n’es plus jamais à avoir peur. Je rêvais un peu plus chaque jour de t’avoir dans mes bras. Parce que tu m’es réconfortante, tu m’es indispensable. Et mon cœur t’a désigné toi Alexia. Parce que je t’aime.

    *Alexia*

    Kentin venais de m’avouer avec aisance qu’il m’aimait. Je n’osais plus bouger. Je n’osais plus penser. En tout cas pas penser négatif, parce que mon amour dépasser l’impossible. Je ne voulais pas regretter d’aimer. Jamais.

    Je savais que mes sentiments étaient réciproques. Il attendait ma réponse. Je me levais doucement, lui faisant signe de faire pareil. Et je me penchais vers lui, et lui souffler doucement à l’oreille :

    -Moi aussi, je t’aime.

    Et j’approcher mes lèvres des siennes, pour lui offrir un baiser plein de passion. D’amour.

    Un long baiser qui me faisait revivre. Qui me paraissait trop court. Je voulais qu’il dur l’éternité. Je voulais offrir à Kentin un véritable baiser digne des films. Encore plus beau.

     

    Il ferma lui aussi les yeux et m’embrasser. Nous nous embrassions. Et le temps semblait s’arrêter. Les objets et les gens n’existaient plus. Juste lui et moi. Juste nous. Je me jurais de toujours l’aimer.


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